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Oméga 3 : EPA & DHA
Définition, apport alimentaire et intérêt d'une supplémentation
Publié le 10/06/2024   -   3 minutes de lecture  -   Ecrit par Vitadial Laboratoires
 
Les omégas 3, on en entend souvent parler. Et pour cause, ils sont essentiels pour notre santé ! Aujourd'hui on se concentre sur deux d'entre eux en particulier (EPA et DHA). Qui sont-ils, où les trouve-t-on, quels bienfaits et quelles conséquences d'une insuffisance ? On vous explique tout !
L'EPA et le DHA, qu'est-ce que c'est ?
 
Ce sont des acides gras dit polyinsaturés (AGPI), c’est-à-dire qu'ils ont une conformation chimique spécifique qui leur confèrent leurs propriétés. Ces AGPI sont des constituants majeurs de nos membranes cellulaires, notamment au niveau des yeux, du cœur et du cerveau ! Par leur action structurale, ils vont donc protéger l'intégrité de nos cellules. Par exemple, au niveau de nos neurones, leur présence dans la membrane assure leur souplesse, ce qui est primordial puisque nos neurones communiquent entre eux via des synapses par son intermédiaire ! Notre corps n'étant pas capable de les synthétiser, leur apport alimentaire est nécessaire. Soit on les apporte directement via leur source principale, c'est à dire les poissons gras1,2 (hareng, maquereau, sardine, thon, saumon), soit on les apporte via l'acide alpha-linolénique (ALA), un AGPI que l'on retrouve principalement dans les huiles végétales3 (lin, germe de blé, noix etc…). Pour cette deuxième option, le corps va utiliser l'ALA pour le transformer en EPA puis en DHA. Des apports suffisants en EPA et DHA permettent donc de protéger le bon fonctionnement du cerveau, de la structure rétinienne et de la fonction cardiovasculaire. 
Consommation en France, limites, risques et solutions 
 
 
Selon le  rapport sur l'étude individuelle nationale des consommations alimentaires (INCA 3) réalisé par l'ANSES4, l'apport médian en EPA et DHA pour les adultes de 18 à 79 ans est de 50,8 mg/ jour pour l'EPA et 65,1 mg/ jour pour le DHA, bien loin des recommandations situées à 250 mg de chaque5  ou 500 mg par la somme de l'EPA + DHA. Afin d'arriver à ces apports, il suffirait théoriquement d'augmenter notre consommation d'huiles végétales et de poissons gras. Mais ce n'est pas aussi simple pour deux raisons :
  • Le coefficient de transformation de l'ALA en EPA et DHA est situé entre 0,5 et 5%6,7. Etant très faible, il faudrait des quantités importantes d'huiles végétales pour atteindre les apports recommandés.
  • La consommation excessive de poissons gras expose à un autre risque : L'exposition aux métaux lourds comme le plomb ou le mercure. Selon, l'ANSES8, pour profiter des effets bénéfiques des poissons gras sans risque, il faut limiter la consommation de poissons gras à deux portions par semaine en prenant soin de varier les espèces consommées.
 
Une fois ce constat fait, comment agir ?
 
  • Consommez des huiles végétales riches en omégas 3. Pour ne pas dénaturer la structure de ces AGPI, ne les utiliser pas pour la cuisson des aliments. Introduisez-les uniquement dans des préparations froides ou sur des préparations chaudes après cuisson.
  • Consommez 2 poissons gras par semaine, de préférence provenant de zones de pêches préservées de toute industrie en variant les espèces.
  • Supplémentez votre alimentation avec Oméga Protect, notre produit à base d'huile de poisson certifiée EPAX® riche en EPA & DHA pour combler vos besoins. La certification EPAX® vous garantit des actifs vierges de toute contamination.
Le saviez-vous ?
Pendant la grossesse, la seule source d'EPA et DHA du bébé provient bien évidemment de la mère. Ces deux AGPI intervenant dans le développement du coeur, du cerveau et des yeux, il est intéressant de venir compléter son alimentation avec Oméga Protect. D'autant plus que la mère, au-delà de devoir satisfaire ses propres besoins, voit ses apports nécessaires se décupler avec son bébé. Après l'accouchement, pendant l'allaitement, les besoins en EPA et DHA continuent d'être importants puisqu'ils vont passer dans le lait maternel pour le bon développement du nouveau-né. Plusieurs études cliniques montrent d'ailleurs des effets bénéfiques pour une supplémentation pendant la grossesse, notamment pour une arrivée au terme normale ainsi qu'un poids normal pour le bébé.9,10,11
Pourquoi choisir Oméga Protect ?
  • Respect des recommandations officielles
    • Apports journaliers couvrant les besoins journaliers : 300 mg d'EPA et 220 mg de DHA soit 520 mg au total d'oméga 3.
  • Ratio équilibré 
    • Un ratio de 34% d'EPA et 24% de DHA .
  • Huile de poisson certifiée EPAX®
    • Poissons pêchés dans des zones éloignées de toute industrie pour éviter les risques de contamination.
    • Normes de sécurités plus strictes que la Pharmacopée européenne.
  • Pour ses bienfaits
    • Protection de votre fonctionnement cognitif12
    • Protection de votre système cardiovasculaire13
    • Préservation de votre vision14
Références : 
 
1 : Ciqual : EPA consultable ici : https://ciqual.anses.fr/#/constituants/42263/ag-226-4c7c10c13c16c19c-(n-3)-dha-(g-100-g)   
2 : Ciqual : DHA consultable ici :https://ciqual.anses.fr/#/constituants/42053/ag-205-5c8c11c14c17c-(n-3)-epa-(g-100-g)
3 : Ciqual : ALA consultable ici https://ciqual.anses.fr/#/constituants/41833/ag-183-c9c12c15-(n-3)-alpha-linolenique-(g-100-g)
4 : ANSES (2017)  Étude individuelle nationale des consommations alimentaires, Avis de l'ANSES, Rapport d'expertise collective  p.181
5 : ANSES (2011) Actualisation des apports nutritionnels conseillés pour les acides gras, Rapport d'expertise collective, étude scientifique, p.255
6 : J Thomas Brenna (2002) Efficiency of conversion of alpha-linolenic acid to long chain n-3 fatty acids in man, Curr Opin Clin Nutr Metab Care
7 : Mélanie Plourde & Stephen C. Cunnane (2007) Extremely limited synthesis of long chain polyunsaturates in adults : implications for their dietary essentiality and use as supplements, Appl Physiol Nutr Metab
8 : ANSES (2011) Avis de l’Agence française de sécurité sanitaire des aliments relatif aux bénéfices / risques liés à la consommation de poissons.
9 : Philippa Middleton, Judith C Gomersall, Jacqueline F Gould, et al (2018) Omega‐3 fatty acid addition during pregnancy, Cochrane Database Syst Rev
10 : Mary A. Harris, Melanie S. Reece, James A. McGregor, et al (2015) The Effect of Omega-3 Docosahexaenoic Acid Supplementation on Gestational Length: Randomized Trial of Supplementation Compared to Nutrition Education for Increasing n-3 Intake from Foods. Biomed Res Int. 
11:  Susan E Carlson, John Colombo, Byron J Gajewski et al (2013) DHA supplementation and pregnancy outcomes. Am J Clin Nutr.
 
 
12,13,14 : Omega Protect contient 320 mg d'EPA et 220 mg de DHA par portion journalière. L'EPA et le DHA contribuent à une fonction cardiaque normale. Le DHA contribue au fonctionnement normal du cerveau et au maintien d'une vision normale.